Publié le 27 Mai 2023
Je jette devant moi un ruban lesté d'un écrou… Ou cela me mène t'il ?
Faire ; le reste n'a aucune importance.
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Un peu de tout
Publié le 27 Mai 2023
Je jette devant moi un ruban lesté d'un écrou… Ou cela me mène t'il ?
Faire ; le reste n'a aucune importance.
Publié le 22 Mai 2023
Oui parfois (souvent) pour comprendre comment ça s'articule dans mon cerveau je fais des dessins.
Souvent en parlant au téléphone, ou en regardant des vidéos autours des savoirs faire, de la pétanque, de la cuisine ou une série.
Je me suis dis que ce serait bien de partager ça avec vous j'en ai des tonnes je vais faire ça en plusieurs étapes car il faut les numériser.
À suivre donc…
Publié le 2 Mai 2023
Publié le 2 Mai 2023
Publié le 22 Mars 2023
J'avais envie de vous montrer les belles assiettes de André Debono.
https://www.instagram.com/andredebonoandre/
Publié le 20 Septembre 2022
Publié le 3 Septembre 2022
Une certaine idée pour un autre alignement des planettes ou une cosmogonie sauvage
Publié le 28 Août 2022
Sous les platanes à caissargues
Publié le 17 Août 2022
Publié le 5 Avril 2022
Publié le 21 Mars 2022
Secret 55
On va faire un bond en avant, pour se retrouver vers la fin du parcours Beaux-Arts, on nous propose de faire un stage pour un spectacle commémorant le bimillénaire de la ville.
24 ⇾ 26 juin 1982
Jardin de la fontaine, Bimillénaire de la Ville de Nîmes (30)
Création théâtrale du collectif « Nemausus 2000 » constitué de Christian Liger, l’Association pour le Théâtre Populaire, Abribus, le Théâtre Ensemble du Languedoc, et le Théâtre populaire du Midi.
Charles Marty, scénographe, Stuart Seide Assistant-scénographe sur un texte original de Christian Liger dans des jardins du XVIIIe siècle.
Je n’hésite pas, j’en suis…
Il y a toutes les compagnies locales, le spectacle retrace l’histoire de Nîmes des origines à nos jours. Dans les jardins de la fontaine, ça va de l’apparition du dieu Némausus, à la place Avogadro, à la ZUP nord, en passant par les barbares, les huguenots, les bâtisseurs de capitelle, et la ZUP nord avec un chien féroce aux yeux rouges.
Le premier tableau, la tête du dieu de la source Némausus sort de l’eau, sa chevelure est une cité qui rappelle la ville de Nîmes. On fait installer par des plongeurs professionnels un bidon de 200 litres rempli de béton avec un anneau scellé, la tête est posée sur un radeau avec tout un jeu de poulies et moufles, on peut immerger la statue, ça permet de la faire sortir lentement sur une musique de Philippe Glass. Un petit radeau transporte un fumigène pour rendre la scène encore plus poétique.
La tête est sculptée dans du polystyrène, recouverte de papier-alu de résine et mat de verre. Le papier aluminium sert à isoler le polystyrène de la résine sinon il fond, ensuite on vide la carcasse pour n’avoir que l’enveloppe rigide comme un canoé. La fausse pierre est faite un projetant de la vermiculite sur toute la surface.
Le radeau est construit dans l’eau.
C’est une période où je ne porte que des espadrilles montantes dites de razeteurs, je marche sur une bouteille cassée au fond de l’eau, il faut partir aux urgences là tout s’accélère
Gérald Karlicow réquisitionne un employé municipal avec son véhicule.
Il me met à l’arrière de la voiture et cour à côté, en criant qu’il y a un blessé à bord.
Et à chaque carrefour il arrête la circulation du jardin de la fontaine. À la rue Hoche j’ai l’impression d’être embarqué dans un tourbillon que je ne maîtrise pas du tout. Nous arrivons aux urgences, là, pareil ; je passe devant tout le monde,personne n’a l’idée d’arrêter Gérald: c’est un véhicule de la mairie tout de même.
Résultat 2 points de suture et je retourne aux jardins pour continuer à travailler. Charles Marti m’offre plus tard une paire d’espadrilles montantes car lui aussi ne porte que ça.
Il fume des Céltiques mais ça, c’est une autre histoire.
À suivre
Publié le 13 Mars 2022
Voilà ce matin pour ma journée, l'ami Carton me fait le plaisir d'improviser 2 chansonnettes.
Une belle journée commence.
Publié le 22 Février 2022
Publié le 2 Février 2022
Dans un vieux carnet de dessin j'ai trouvé ça
C'est Antoine Serra un bon ami de mon père
Publié le 16 Janvier 2022
Beaucoup de peintres recherchent la liberté de faire, ils travaillent sans cesse sans jamais atteindre (atteindre quoi au juste ?) Peut-être ce moment ou sur la toile l'évidence est là, ça fonctionne enfin.
Comment le sait-on, mystère l'œil est content. C'est un regard chargé de références d'histoire, d'expériences, ho et puis ça fonctionne un point c'est tout !
Je pense souvent à l'ouvrier qui blanchit les fenêtres nouvellement posées, pour signaler qu'il y a des vitres et d'arrêter de jeter les gravats ou autres par les ouvertures. Le geste de l'ouvrier est efficace le moins de mouvements possible et juste ce qu'il faut de matière pour couvrir. Il n'a pas le temps, c'est par dizaines qu'il remplit les surfaces. Ben ça fonctionne, mais ça, c'est mon regard de peintre qui le perçoit,
lui ce n'est pas son problème.
Laisser couler et passer à une autre peinture, le reste me semble du bla bla.
Publié le 30 Septembre 2021
Publié le 27 Septembre 2021
L'Antre du Jacquart | Michel Durand
A partir de quand tu as fait de l'Antre ta caverne artistique ? Tout de suite. Ça allait ensemble. La fête, mes sculptures. Toujours ce côté mélange. L'un répond à l'autre. J'ai d'abord déc...
C'est prés de chez vous.
Publié le 31 Août 2021